MC Gilles - Nouvelles Gagnantes

mercredi, avril 30, 2008

Pires chansons des années '80

Le Soleil donne dans la nouvelle gagnante en répertoriant un top 10 des pires chansons sur un site américain. Me semble qu'il y en a des pires!


Le mardi 29 avril 2008

Les pires chansons des années 1980


Le Soleil

La nostalgie des années 80, c'est bien beau, mais cette décennie rose bonbon menée au son des synthétiseurs et des mauvais vidéoclips n'a pas laissé que du bon!


Histoire de célébrer le meilleur du pire, le site Popdose.com propose un top 10 des pires chansons des années 80 avec vidéoclips en prime!

Le Physical d'Olivia Newton-John et son bandeau «Original au coton» arrive en tête, devant les New Kids on The Block et autres Huey Lewis & the News.

Joyeusement nostalgique, parfois affligeant, mais toujours amusant!

1) Physical, Olivia Newton-John

2) Kokomo, The Beach Boys ex aequo avec Wind Beneath My Wings, Bette Midler

3) I Just Called to Say I Love You, Stevie Wonder

4) We Built This City et Nothing’s Gonna Stop Us Now, Starship

5) Hangin’ Tough, New Kids on the Block

6) Kyrie, Mr. Mister

7) The Greatest Love of All, Whitney Houston

8) Stuck With You, Huey Lewis & the News

9) Ebony and Ivory, Paul McCartney et Stevie Wonder

10) Dirty Diana, Michael Jackson

Merci à Fred pour l'envoi

mardi, avril 29, 2008

TQS

Pour vous convaincre que la salle des nouvelles de TQS doit demeurer ouverte.

Mon IDOLE! Jean Lajoie.

lundi, avril 28, 2008

Louis-H

Une preuve japonaise irréfutable que manger du McDo mène directement en psychiatrie.

Je n'ai pas pu endurer plus de 1 minute... Battez mon record!



Merci à Michel pour l'envoi

vendredi, avril 25, 2008

Entrevue à venir avec le Roi

J'ai eu l'honneur infini de faire une entrevue avec le Roi Heenok hier. A paraître dans prochain Urbania «luxe». Il est sorti de la «wing» du «pen» et est en pleine forme.

Et j'ai filmé le tout en «exclusivité mc gilles, t'entends?»

En attendant la sortie de cette pièce maitresse de notre culture, voici trois grands moments pour vous préparer à son univers.

Le Roi et Yasser Arafat



Le Roi et Saddam Hussein



Le roi et la bouffe bio... un masterpiece... «Dinde de choix t'entends?»

jeudi, avril 24, 2008

Dieu est partout

Une émission religieuse et un costumier sur l'acide, ça donne toujours de la bonne télé!



Merci à Maxime pour l'envoi

mercredi, avril 23, 2008

TQS + Roi Heenok

Cyberpresse nous apprend ce matin que TQS veut fermer sa salle des nouvelles...

Qui nous fera le suivi sur la vie tout en rebondissements du Roi Heenok?

Que deviendra Jean Lajoie???

Une autre vidéo sur l'arrestation du Roi. Mongrain de TQS à la France. Seulement l'intro de Jean-Luc en vaut la peine...


A lire sur 20minutes.fr

«
Superstar des forums Internet depuis près de trois ans, Roi Heenok, le rappeur canadien le plus fou de Montréal, a été interpellé par la police dans la nuit de mercredi à jeudi. L’intervention a eu lieu dans son studio d’enregistrement. Le «Jean-Claude Van Damme» du hip-hop francophone et trois de ses acolytes, âgés d’une vingtaine d’années, ont été conduits au poste. Vendredi, ils étaient encore détenus et interrogés.

C’est après avoir visionné sur le Net les nombreuses vidéos du rappeur que les services de cybersurveillance ont déclenché la procédure d’intervention. Après une fouille approfondie, les inspecteurs ont trouvé trois armes à feu, des munitions, des gilets par balles et une importante quantité de stupéfiants.

L’affaire secoue gentiment le microcosme médiatique canadien. Les journaux ont même relayé cette interpellation.»

mardi, avril 22, 2008

Émeutes de l'oesophage


Alcool

Il avale un bouchon de bière

Jean-Michel Nahas
Le Journal de Montréal
20/04/2008 08h45 - Mise à jour 20/04/2008 13h54



Une soirée de calage d’alcool entre amis a failli tourner à la tragédie pour un étudiant montréalais qui a subi de profondes lacérations dans l’œsophage, après avoir avalé un bouchon de bière tombé au fond de son verre.

La poignée de copains réunis dans une résidence de Laval, le 13 avril, pour s’adonner à une séance de «flip cup» était loin de se douter que l’un des leurs ter minerait la soirée à l’urgence de la Cité de la Santé.

C’est pourtant le triste sort qui attendait Julien, 20 ans, étudiant à l’Université Concordia.

Un peu avant la «compétition», qui consiste à caler son verre de broue plus vite que son concurrent, le jeune homme et ses amis se sont lancé des bouchons de bière pour rire.

L’un d’eux a atterri au fond du verre de Julien, qui ne s’en est pas formalisé. Un peu plus tard, captivé par le jeu, il a complètement oublié la présence de l’objet tranchant qu’il a ingurgité.

Dans sa gorge

Le bouchon s’est logé au milieu de sa gorge, tout juste sous la pomme d’Adam. «J’ai essayé de tousser pour l’expulser, mais ça ne sortait pas et ça faisait de plus en plus mal», raconte-t-il.

Rapidement, sa respiration est devenue pénible et extrêmement douloureuse. L’envie de vomir se faisait sentir chaque fois qu’il avalait. Pour inspirer sans trop souffrir, il était contraint de pencher tout son corps vers l’avant.

Affolés, ses amis l’ont conduit en toute hâte à la Cité de la Santé, où on lui a administré de la morphine par intraveineuse. Deux médecins spécialistes ont tour à tour été appelés pour soigner le cas aussi complexe qu’inusité.

«Le premier docteur a essayé de plier le bouchon avec une pince pour le sortir, mais il n’a pas réussi», souligne Julien.

Anesthésie

Le jeune homme a finalement été anesthésié, ce qui a eu pour effet de relâcher le muscle œso- phagien et de faire descendre le bouchon jusque dans l’estomac. Un otorhino-laryngologiste est alors parvenu à extirper l’objet métallique à l’aide d’une longue pince munie d’une caméra.

«Tout mon œsophage a été écorché, on m’ a ordonné une diète molle pour deux semaines», dit l’étudiant.

Le jeune homme, qui pratique ce type d’activité de calage depuis plus de deux ans, admet qu’il a eu de la chance.

«Là, je prends un break, et c’est certain que je vais faire attention à l’avenir», conclut-il.



Alcool et Red Bull

Hubert Sacy se dit également préoccupé par les mélanges d’alcool et de boissons énergisantes. Son organisme travaille d’ailleurs à l’élaboration d’une publication sur la question qui devrait voir le jour dans deux mois.

« Nos chercheurs sont actuellement à étudier le phénomène, dit-il. Une chose est sûre, autant la drogue que le Red Bull ne sont pas recommandés avec la boisson.

« Ce qu’on sait déjà, c’est que la seule chose qu’on peut mélanger à l’alcool, c’est la nourriture.»


Merci à Steve pour l'envoi

lundi, avril 21, 2008

Le Roi

Il est difficile d'être Gangster Rapper en 2008!

Une autre preuve que TQS doit resté ouvert et dynamique. Ils sont les seuls avec de vraies nouvelles qui nous touchent dans notre quotidien.



Merci à Vincent et Francis pour l'envoi

vendredi, avril 18, 2008

Trop

Cette nouvelle contient trop de choses troublantes: Le juge Mario Tremblay, le bar La Sangria et un gars qui dit s'appeler Whitney Houston...

Ça dérape à Trois-Rivières.


Il a dit s'appeler... Whitney Houston

Nancy Massicote

Le Nouvelliste

Trois-Rivières

Jacques Veillette, 52 ans de Trois-Rivières, un récidiviste de l'alcool au volant a échoué, jeudi, dans sa tentative de reprendre sa liberté à l'étape de son enquête sur détention.

Le juge Mario Tremblay a en effet convenu que le remettre en liberté constituerait un risque trop important pour la société compte tenu de ses antécédents en semblable matière et du risque de récidive.

Le soudeur devra donc demeure détenu durant toutes les procédures judiciaires.

Veillette a été arrêté en fin de semaine dans le stationnement du bar La Sangria dans le secteur Cap-de-la-Madeleine.

Il a été intercepté vers 3 h 50 par les policiers de Trois-Rivières lors d'une vérification de routine.

Selon ces derniers, le véhicule n'était pas en marche mais l'individu était assis derrière le volant et les clés se trouvaient dans le contact, ce qui constitue une infraction.

Toujours selon les forces policières, Jacques Veillette était fortement intoxiqué par l'alcool. À tel point d'ailleurs qu'il a eu de la difficulté à sortir de son véhicule.

Lorsqu'on a lui a demandé de s'identifier, il a répondu à deux reprises que son nom était... Whitney Houston.

Au poste de police, il a été incapable de monter les escaliers. Les policiers ont été obligés d'emprunter l'ascenseur avec lui.

Il a ensuite refusé de subir le test d'ivressomètre. En fait, les policiers lui reprochent d'avoir mis sa langue dans l'appareil pour empêcher l'air de passer.

L'enquête a aussi démontré que Jacques Veillette n'en était pas à ses premiers démêlés avec la justice. Outre cette dernière accusation, il a été arrêté à six reprises dans le passé pour conduite avec les facultés affaiblies par l'alcool.

Sa dernière condamnation remonte à 2002. Il avait alors écopé de six mois de prison. Les autres condamnations remontent à 1982, 1992, 1993 et, enfin deux fois en 1997.

Hier, lors de son enquête sur détention, on a pu apprendre qu'il avait pourtant suivi une thérapie pour se débarrasser de son problème de dépendance à l'alcool.

En fait, il était sobre depuis un an lorsqu'il a été arrêté en fin de semaine. Interrogé à savoir pourquoi il avait rechuté, il a été incapable de répondre.

Son avocat Me Maurice Biron a bien tenté de faire valoir que son client était prêt à se soumettre à des conditions sévères et même à suivre une thérapie externe pour son problème d'alcool mais cela n'a pas suffi.

Le juge Tremblay a surtout pris bonne note des arguments de la procureure aux poursuites criminelles et pénales Me Marie-Ève Paquet, qui a souligné le haut niveau du potentiel de dangerosité et du risque de récidive de cet individu dans les circonstances.

La cause a été reportée pro forma au 30 avril.

Merci à Marie-Laurence pour l'envoi

jeudi, avril 17, 2008

L'arroseur arrosé


Notez la prose dans le texte!


L'arroseur arrosé

Daniel Renaud
Le Journal de Montréal
17/04/2008 08h12


Un voleur de grand chemin armé de poivre de Cayenne a trouvé chaussure à son pied, mardi soir, lorsque sa victime l'a mis hors d'état de nuire malgré les effets du gaz.


Tel est pris qui croyait prendre. C'est la morale de cette affaire qui n'a cependant rien d'une fable et qui s'est produite vers 23h30 en face du 7031 de la rue Sagard, dans le secteur Villeray.


Un homme de 36 ans qui marchait sur le trottoir a été attaqué par un individu qui l'a aspergé de poivre de Cayenne afin de le voler.


Loin de perdre ses facultés, la victime, un adepte des arts martiaux, est alors devenue l'agresseur.


«(L'homme) a asséné quelques coups à son assaillant et l'a maîtrisé. Il a ensuite retenu le suspect en criant d'appeler la police», raconte Anie Lemieux, porte-parole de la police de Montréal.


Des citoyens ont appelé les policiers qui ont arrêté le suspect. Blessé et visiblement intoxiqué par une substance quelconque, celui-ci a été transporté à l'hôpital, d'où il a rapidement obtenu son congé.


Mais l'homme, qui a 22 ans, n'est pas au bout de ses peines puisqu'il devra faire face à une accusation de vol qualifié.



Merci à Steve pour l'envoi

mercredi, avril 16, 2008

Jesus Price

Après les fanatiques religieux... les extrémistes sportifs...



Merci à Nicolas pour l'envoi

mardi, avril 15, 2008

Art actuel

Un moment de tivi par Alain

lundi, avril 14, 2008

Charlebois

Robert fait actuellement un nouveau spectacle dans la magnifique quartier 10-30 de Brossard.

Les critiques sont mitigées pour l'événement mais notre Bob national peut se consoler en consultant les archives.

Il est déjà loin le temps où on pouvait se raser en chantant et se faire envoyer paître par Serge Gainsbourg.



Merci à Michel pour l'envoi

vendredi, avril 11, 2008

Le Devoir

Enfin un journal sérieux entre dans la fièvre des séries avec une entrevue inédite avec une fan de 80 ans, 19 coupes, 4 pieds de haut...

Comme une chronique de Jean Lajoie mais dans Le Devoir



De Morenz à Kovalev
Le Devoir

Guillaume Bourgault-Côté


À 80 ans, Jeanne-d'Arc Larocque attend impatiemment sa 19e coupe Stanley

Jeanne-d'Arc Larocque ne mesure pas cinq pieds. Elle a l'apparence des dames âgées chez qui se confondent fragilité et délicatesse. N'empêche que c'est elle, le plus solide et le plus fidèle des partisans du Canadien. Et pour cause: à 80 ans, elle complète sa 55e saison en tant qu'abonnée. Et elle attend impatiemment de voir son équipe remporter sa 19e coupe Stanley.


«Quinze ans sans coupe, c'est un record. Je n'ai jamais passé autant de temps sans voir la coupe. Et je commence à avoir hâte. Assez que je me demande si je vais la reconnaître quand elle reviendra à Montréal... »

Façon de parler: la coupe, elle la connaît par coeur. Depuis ses débuts comme spectatrice, en 1952 -- la même année que Jean Béliveau --, le Canadien l'a remportée à 18 reprises, dont 13 fois sous ses yeux, au vieux Forum. Des statistiques inégalées dans le sport professionnel nord-américain -- sinon par les Yankees de New York, au baseball --, qui font virtuellement de Mme Larocque la plus titrée des partisans de hockey en Amérique.

Sa légende a d'ailleurs fait son chemin au Centre Bell. Depuis que le Canadien a souligné son ancienneté, il y a deux ans, Mme Larocque se fait saluer dans les corridors. Les gardiens de sécurité lui offrent leur bras pour l'accompagner à son siège. Et elle signe parfois des autographes, elle qui n'en a jamais demandé à aucun joueur. «Les gens viennent me voir et me disent: "C'est vous?"»

Un jour, Henri Richard l'a invitée à sa table après l'avoir reconnue. «Mme Larocque, je suis content de vous rencontrer, lui a dit le Pocket Rocket. Pour une fois qu'il y a quelqu'un de plus petit que moi dans la place!»

Ainsi, Le Devoir est allé la rencontrer chez elle la semaine dernière. Question de discuter Canadien et passion du hockey à l'aube des séries qui, pour la première fois depuis longtemps à Montréal, promettent un printemps éventuellement glorieux.

Dans le six et demi de Mme Larocque, rue Molson, les boîtes sont empilées un peu partout. Après 48 ans de cohabitation, elle s'est récemment décidée à vendre son immeuble pour habiter un appartement plus petit et mieux desservi. Il ne reste donc plus que trois décorations aux murs: une photo signée par l'ancien lanceur Claude Raymond, une autre de Mme Larocque avec les Canadiens Mathieu Dandenault et Francis Bouillon, puis le laminé d'un article consacré à la dame l'an dernier.

Plusieurs autres souvenirs ont été vendus, d'autres empaquetés, mais la plupart d'entre eux se trouvent simplement dans le scrapbook impalpable de sa mémoire. Un livre étonnant et unique dont la première page a été écrite en 1937, au moment du décès de Howie Morenz. La grande vedette de l'époque s'était brisé une jambe lors d'un match au Forum. Les suites plus ou moins directes de cette blessure avaient entraîné sa mort, deux mois plus tard, et le Tout-Montréal avait été secoué. Les funérailles célébrées au Forum avaient attiré des dizaines de milliers de personnes.

«La tête collée sur le poste de radio», Jeanne-d'Arc Larocque a suivi cet événement avec une émotion rare. Elle n'avait pas dix ans. «C'est drôle à dire, mais c'est comme ça que j'ai commencé à aimer le hockey. Ça m'avait frappée, de voir qu'un joueur pouvait être autant aimé. Après, j'ai commencé à aller voir des matchs du Canadien junior, puis du Canadien.»

Toujours en cachette, bien sûr, puisque ses parents ne voulaient pas qu'elle aille seule au hockey à une époque où les gradins étaient occupés en quasi-exclusivité par des hommes. «Je devais bien être la seule femme seule qui était là. C'était assez particulier. Mais ça ne me dérangeait pas.»

Un billet pour 1,75 $

Son histoire est celle d'une passion jamais assouvie qui aura fait du hockey et du Canadien les grands compagnons de vie de Jeanne-d'Arc Larocque, célibataire de tout temps. Pour elle, la «ville est hockey» depuis plus d'un demi-siècle. En fait, sa vie est hockey.

Dans la victoire comme dans la défaite, la fièvre ne baisse pas. Et chaque soir de match depuis l'achat de son premier billet de saison, en 1952, Mme Larocque s'est rendue au Forum puis au Centre Bell pour voir son équipe. C'est sa tradition, son hobby. Sa passion.

Elle ne tient plus le compte précis, mais elle a probablement assisté à environ 2500 matchs depuis 55 ans. «Je n'en ai pas raté plus de deux ou trois par année», dit-elle avec une fierté toute discrète. Elle n'a manqué qu'un seul grand soir, celui de l'émeute du Forum, en mars 1955. Son père, un sergent-détective, ne voulait pas qu'elle soit impliquée dans la casse anticipée.

Sinon, rien n'arrête Mme Larocque lorsqu'il est question de hockey. Pendant des années, elle s'est accordé une semaine de vacances en Floride... en s'assurant que le Canadien ne jouait pas à Montréal au cours de ces sept jours. «Souvent, je descendais de l'avion à 14h, je revenais porter ma valise à la maison et je prenais immédiatement l'autobus pour être au Forum à 19h», dit la dame, qui a travaillé toute sa vie comme fonctionnaire au ministère du Travail.

Son record d'absentéisme a été établi cet hiver («Peut-être cinq parties»). La faute aux trottoirs enneigés, Mme Larocque n'ayant jamais dérogé à sa routine d'aller au hockey en utilisant les transports en commun. «Quand j'ai commencé à aller au Forum, on avait quatre billets d'autobus pour 25 ¢. Le billet de hockey me coûtait 1,75 $. Et les joueurs ne gagnaient pas plus de 5000 $ par année.»

Petit sourire en coin: «Ç'a changé depuis ce temps-là, non? Aujourd'hui, ça me coûte 4000 $ pour un billet de saison dans les blancs [aux deux tiers des gradins, du «côté où le Canadien attaque deux fois»], et les joueurs gagnent des millions.» Sans compter qu'une petite bière fraîche coûte près de 10 $...


Boum Boum

Depuis 55 ans, Jeanne-d'Arc Larocque a donc presque tout vu des exploits et des déboires du Canadien, en saison comme en séries. Richard, Béliveau, Lafleur, Plante, Dryden, le Big Three, Roy, Kovalev: elle a vu jouer tous les plus grands mais n'en a toujours préféré qu'un seul: Bernard Geoffrion, le gendre de Howie Morenz. «Quand il était sur la glace, il donnait toujours son maximum, explique-t-elle. Les autres étaient bons, mais moi, c'était Geoffrion. C'est comme ça. Et en plus, je le trouvais sympathique.»

Elle a aussi vu le hockey évoluer dans tous les sens. Les principales différences? «La vitesse et la robustesse», dit-elle. «Dans le temps, ils n'avaient presque pas de pads. Mais les joueurs ont commencé à se donner des petits coups sur les jambes, les bras, les épaules, et maintenant, ils ont de l'équipement partout.»

Mais peu importe la façon de jouer, le plaisir de regarder le jeu demeure intact pour Mme Larocque. À 80 ans comme à 25. «Tant que la santé va tenir, je vais être au Centre Bell, jure-t-elle. Et comme le hockey, c'est la santé, eh bien je vais être là un bon bout... » Assez, souhaite l'octogénaire, pour voir la 25e coupe du Canadien et le centenaire du club, en 2009.


Merci à Alain pour l'envoi

jeudi, avril 10, 2008

Un gros gardien

J'ai des souvenirs de jeunesse associés à Marc Simoneau demandant à ses auditeurs de ligne ouverte de «stooler» les escapades du gardien Mylnikov dans les buffets chinois à volonté du boulevard Hamel.

Je me souviens de ce gardien qui «goalait» derrière la ligne des buts profondément dans son filet, la tête sous sa barre horizontale.

J'ai d'ailleurs appris de source sûre qu'il avait fait exploser son micro-ondes - et une partie de sa cuisine - ayant fait chauffer une «can de binnes» en métal encore scellée.

Et bien voici qu'il est de retour dans la vieille capitale pour le 400ième de Québec...


Mylnikov aurait aimé jouer cinq ans à Québec

Jean-François Tardif

Le Soleil

Québec


Même s’il n’a disputé qu’une saison (1989-1990) avec les Nordiques, Sergei Mylnikov n’a pas oublié Québec. Il a d’ailleurs renoué avec Québec avec beaucoup de plaisir en début de semaine. «Je suis très heureux d’être ici», a confié le gardien de but qui porte les couleurs de la formation des Oldtimers SCA de Saint-Petersburg, une équipe inscrite à la Coupe du monde de la CARHA (Association canadienne de hockey récréatif pour adultes).


Choix de septième ronde (127e au total) au repêchage de 1989, Mylnikov était âgé de 30 ans lorsqu’il est débarqué dans la Vieille Capitale. Avant de s’aligner pour les Nordiques, il avait porté les couleurs du Traktor de Chelyabinks, avec qui il avait maintenu une moyenne de 3,41 en 41 matchs. Il avait aussi gardé le but pour l’équipe nationale de l’URSS. En 62 rencontres, sa moyenne de buts accordés s’était établie à 1,87. À Québec, il n’a toutefois joué que 10 rencontres, décrochant une seule victoire contre sept défaites et deux verdicts nuls avec une moyenne de buts accordés de 4,96.
«J’ai bien aimé mon séjour à Québec. J’en garde de nombreux souvenirs. Si j’en avais eu la possibilité, j’y aurais joué au moins cinq ans», a déclaré celui qui n’affichait pas une grande forme physique lors de son baptême dans la LNH.


Un monde de différences

Ne parlant ni anglais ni français à son arrivée à Québec, Mylnikov a éprouvé toutes sortes de difficultés à s’adapter à la culture nord-américaine et aux coutumes québécoises. On chuchote qu’il ne connaissait pas la différence entre un four à micro-ondes et un grille-pain. L’arrivée de sa femme et de ses enfants a atténué quelque peu ses difficultés, mais elle ne les a pas effacées. Et contrairement à ses enfants qui se débrouillaient en anglais et en français quelques mois à peine après avoir déménagé à Québec, Mylnikov n’a jamais pu maîtriser les langues de Molière et de Shakespeare.

«Ça va bien», a fièrement lancé le gardien à l’auteur de ces lignes. Mylnikov avoue ne pas avoir eu la chance d’améliorer son français et son anglais depuis son passage dans nos murs. «Je parle un peu anglais, mais pas beaucoup.»

De retour en Russie après son passage avec les Nordiques, Mylnikov a pris sa retraite au terme de la saison 1994-1995. Depuis une dizaine d’années, il poursuit sa carrière dans des ligues amateurs pour adultes.

«Nous sommes venus à Québec afin de remporter le titre de notre division», a déclaré Mylnikov, dont la formation, les Oldtimers SCA de Saint-Petersburg, joue dans la division Labatt. Hier, le gardien de 49 ans a aidé les siens à vaincre le Michigan Sting 50 au pointage de 7 à 2. Le tournoi se poursuit jusqu’à samedi au Colisée, au Pavillon de la jeunesse, au PEPS de l’Université Laval et à l’aréna de Sainte-Foy.

Merci à Mathieu pour l'envoi

mercredi, avril 09, 2008

Inacceptable

Le pire, c'est que le suivi de cette nouvelle dans le Journal nous parle de la «non-générosité» des Québécois qui auraient seulement donné 2$ à la demoiselle après la parution de l'article.

Moi je parlerais plutôt de la «morale» des Québécois qui ne veulent pas encourager une niaiserie pareille!

Des dons pour ses seins

Louis Mathieu Gagné
Le Journal de Montréal
07/04/2008 04h59 - Mise à jour 07/04/2008 07h52

Internet - Des dons pour ses seins
La Montréalaise Melissa Lee souhaite que son charme pousse des internautes à lui donner de l’argent pour qu’elle puisse se payer des implants mammaires.
Photo Le Journal Hugo-Sébastien Aubert

Insatisfaite depuis toujours par sa poitrine qu'elle juge trop petite, une jeune Montréalaise mise sur la générosité d'étrangers pour amasser grâce à un site Internet spécialisé l'argent qui lui permettra de payer l'augmentation mammaire dont elle rêve.

Melissa Lee est membre depuis maintenant plus d'un an de myfreeimplants.com, un site Internet américain permettant à de purs inconnus libidineux de verser de l'argent à des femmes sans le sou désirant des implants mammaires.

À ce jour, une dizaine d'hommes des quatre coins du monde ont pu visionner des photos de la jolie demoiselle de 25 ans tentant de séduire de futurs donateurs.

Ils ont été à l'origine de plus de 400 dons totalisant 1 072,75 $. Pas mal ? Pas si l'objectif est de 6 000 $, le coût moyen d'une telle chirurgie esthétique.

Peu importe la valeur des dons amassés, Melissa ne touchera la somme que si elle se fait opérer. Sinon, l'argent revient aux propriétaires du site.

«Ça va prendre du temps à atteindre, mais ça va arriver. Je vais l'avoir, l'argent pour me faire poser de nouveaux seins», affirme avec enthousiasme l'étudiante en esthétique.

Esthétisme ou confiance ?

Pour cette jeune femme d'origine indienne, la taille des bonnets compte. Ce n'est pas une question de confiance, mais bien d'esthétisme, précise-t-elle.

Et n'allez pas croire qu'elle cherche à faire compétition à Dolly Parton ou encore à Pamela Anderson. Ses exigences sont, pourraiton dire, raisonnables.

«Je porte des 34B, mais je préférerais avoir des 34 C. J'ai de la misère à trouver une robe ou un chandail qui me fait bien», explique-t-elle.

Melissa, qui apparaît sur le site sous le pseudonyme de Murdererotica, n'a aucun problème moral à participer à cette activité, la qualifiant simplement d'«amusante».

Et qu'en pensent son copain et sa famille? «Mes parents ne sont pas vraiment au courant, quoique j'aie déjà dit à ma mère que je voulais une augmentation mammaire. Mon copain m'aime comme je suis, mais il respecte ma décision», dit-elle.

Si certains donateurs tiennent des propos déplacés, voire vulgaires, envers certaines femmes, Melissa n'a jamais eu ce problème.

«Ceux avec qui j'ai chatté et qui m'ont donné de l'argent ont été respectueux», affirme-t-elle.

  • Le site www.myfreeimplants.com compte présentement 4000 membres féminins (dont 297 Canadiennes et une dizaine de Québécoises) et 25 000 donneurs actifs.

    Depuis sa fondation en juillet 2005, 1,6 M$ ont été amassés, et 109 femmes ont pu bénéficier d'une augmentation mammaire.


  • Merci à Steve pour l'envoi

    mardi, avril 08, 2008

    Le futur de la musique cheap

    Bientôt la fin des Djs, Mcs et autres musiciens traditionnels.


    Je vous entend déjà crier: «Je veux cette machine avec des sons Midi!»




    Que dire du International Dance Party




    Merci à Conrad et Marie-Eve pour les envois

    lundi, avril 07, 2008

    TQS

    TQS nous démontre grâce à la numérologie que le CH va gagner la coupe cette année! Dryder 29 - Price 31 - Roy 33. Trouvez 93 là-dans.

    Un vidéo à voir...


    De retour dans les magasins douteux. Les Assurances Mourant. Épeurant...



    La bonne nouvelle du jour?
    Cayouche en spectacle à Sherbrooke au mois de juin!


    Merci à Vincent et Maxime pour les envois

    vendredi, avril 04, 2008

    International

    Soyons multiculturel cette fin de semaine! Un chaman de St-Jean-Port-Joli qui a visité l'Afrique

    Une chanson indienne qui a fait la trame sonore de Ghost World.




    Un groupe de type Burka...




    Et finalement, le magnifique chandail du «Pelchat Auto Caravane . com» de Roberval. Seul logo de sport au monde avec un numéro de téléphone intégré!



    Merci à Alain, François, Marie-Eve et Mister P. pour les envois

    jeudi, avril 03, 2008

    Notre sport national

    Mathieu partage sa passion du hockey avec nous,. Tiré de l'époque où pôpa Roy - le guerrier - s'amusait ferme contre les Flyers de Philadelphie.

    «Des mullets, des moustaches, de la calvitie et des bédaines»

    A noter:
    3:00 - Un joueur des Flyers sans patins
    4:43 - The Final Countdown à l'orgue

    Et plein d'autres surprises dont l'analyse de Gilles Tremblay.



    Par chance, des moments plus tendres nous réconfortent avec notre sport national. Prenons cette entrevue que Ron Hextall accorde nu.

    mercredi, avril 02, 2008

    Trop d'émotions

    Aujourd'hui, un pot-pourri de bouettes!

    Une shop de l'Acadie, le Décrotteur





    Une annonce de Volvo avec une chanson mémorable.

    Je vais essayer de sauter
    comme ça avec mon Lada.

    Et le classique. Le fameux disque au titre «gore» - violons du monde !


    Merci à Francis, Bernard et François pour les envois.

    mardi, avril 01, 2008

    Corée

    Une publicité grandiose!

    On dirait qu'il dit « Tu vas mourir »



    Merci à Jean-Michel pour l'envoi